A la suite de la parution d’un article dans la presse locale, le 3C tient à préciser qu’aucun de ses membres n’a demandé un contact avec le journal Var Matin et apporté des éléments à cet article de nature à jeter l’opprobre sur la station ou qui que ce soit.
C’est une journaliste qui a demandé des informations par téléphone pour avoir des confirmations sur l’article qu’elle avait déjà écrit et s’apprêtait à éditer. Patrick COLOMBET, vice-président du 3C, non seulement n’a rien divulgué des échanges en cours entre les copropriétaires et P&V, mais a demandé à cette journaliste d’attendre la tenue des AG de fin avril (sans préciser de quelles AG il s’agissait), pour faire paraitre son article, car il était plus judicieux dans le contexte actuel de publier les décisions importantes qui devaient y être prises.
L’objectif des « révélations » de l’article provenant de personnes qui ont souhaité garder l’anonymat est à l’opposé de celui du 3C qui travaille en symbiose et dans la transparence avec l’ASCAPE et l’APCAPE dans le but de trouver avec P&V les meilleures solutions pour l’avenir de Cap Esterel.
Le 3C regrette que l’article soit présenté comme si c’était Patrick COLOMBET qui avait été la seule source de cet article alors que c’est totalement inexact, et que le journal pour faire sensation ressorte une photo du rassemblement contestataire d’Aout 2014, alors que la situation est apaisée depuis fort longtemps entre les copropriétaires et P&V à la suite des échanges dès septembre 2014 sur les tarifs des Cartes Loisirs.
Le bureau du 3C a demandé à la rédaction de Var Matin un droit de réponse pour apporter certaines clarifications.
Les membres du Bureau du 3C.